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Les céréales

de l'avenir

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Des dérivés des céréales, plus résistants, presque autosuffisants en eau, existent.



  1. La viande et le poisson sont, comme nous l’avons vu, menacés. 
  2. Les céréales sont une bonne porte de sortie, mais ils sont eux aussi sur une pente glissante. 

  3. En Afrique, le maïs représente plus de 50% de l’alimentation générale, mais il est extrêmement gourmand en eau, et très sensible aux changements climatiques.
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L’amarante et le sorgho sont assez proches des céréales traditionnelles grâce à leur valeur énergétique mais sont bien plus résistants à la sécheresse, donc aux changements climatiques. 

Le changement, c’est maintenant.

Gabriel est agriculteur. A 34 ans, cet amoureux des légumes et des céréales est originaire de la Beauce, région riche en agriculture intensive.



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Sur ses terres, Gabriel produit des carottes, des navets, mais aussi du sorgho, qu’il a découvert il y a 5 ans lors d’un voyage en Ethiopie.










En France, cette plante est très peu produite, sans doute par la méconnaissance de celle ci.

 

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​«Ici, les gens ne sont pas prêt à changer leurs habitudes alimentaires. Ils aiment manger du blé, du maïs, de l’orge ».

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Pourtant, cette plante est très intéressante, on peut en faire du sucre, du sirop, de l’alcool comme au Burkina Faso ou en Chine avec le maotai (alcool de sorgho). 

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En Inde, un projet fou a  été lancé : il s’agit de faire de cette plante un agrocarburant, tel que le bioéthanol. 

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Pour vérifier les dires de Gabriel, nous avons rencontré le Docteur Lacuisse Chabot, nutritionniste spécialiste des troubles alimentaires du comportement. Elle a fait des céréales sa spécialité au cours de nombreux voyages en Amérique du Sud et en Afrique subsaharienne.

« Cette plante est tellement facile à faire pousser, vous la plantez, elle pousse comme de la mauvaise herbe, c’est incroyable. De plus, cette plante est excellente pour la santé. » Gabriel


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Alors, il faut trouver autre chose, une alternative conséquente, car les spécialistes prédisent des pénuries alimentaires généralisées en Afrique et dans le monde sans précédent. 

L’homme doit s’habituer à ce changement d’alimentation, et pour elle, c’est à prendre avec des pincettes.

Produire et commercialisER de nouvelles légumineuses, oui, mais la prudence est de rigueur, l’homme peut se retrouver vite intolérant à tout nouveL aliment inconnu.

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 « Cette plante est formidable, elle ressemble à du maïs, mais est  plus productive »

G . B

Guillaume Benamour

Crédit photo Flickr ©

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